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De la salle de traite aux marchés de bestiaux : 10 reportages qui ont conquis les éleveurs en 2025

Au nord ou au sud, en lait comme en viande : retrouvez les 10 reportages qui ont marqué les lecteurs de Web-agri au cours de l’année 2025

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1. 350 vaches, 3 traites par jour et 12 salariés : une ferme laitière grand format où il fait bon vivre

(© Terre-net Mdia)

Sur l’élevage des Rives d’Or en Normandie, Luc Sassel entouré d’une équipe de 12 personnes gère un troupeau de 350 vaches laitières. Avec trois traites par jour et une organisation tirée au cordeau, l’éleveur s’inspire des grandes exploitations allemandes pour mener à bien sa structure.

2. Il trait ses Charolaises à chaque vêlage et drenche les veaux pour un bon démarrage

(© Christophe Lopacki)

Avec 80 mères charolaises et des vêlages groupés sur 2 mois, Sébastien Labrune ne chôme pas l’hiver. D’autant plus qu’il assiste à chaque naissance et met un point d’honneur à traire la vache et drencher le veau ensuite.

3. Sur la Ferme Adam : 10 000 kg de lait par vache et 12 000 kg de lait par logette

(© Terre-net Mdia)

En 2021, les associés de la Ferme Adam sont passés de 200 à 400 vaches laitières. S’ils visaient les 3 millions de litres de lait dans leur prévisionnel, ils sont aujourd’hui à 4,5 millions de litres. Une progression qui s’explique par la proportion de multipares dans le troupeau.

4. Le Gaec des Puits (49) produit 900 000 l de lait avec 62 vaches

(© Antoine Humeau)

Dans le Maine-et-Loire, les 62 vaches du Gaec des Puits produisent pas moins de 900 000 litres de lait : un total de 46 kg de lait par tête ! Un niveau de production qui témoigne du haut niveau génétique travaillé par Alain Piet, couplé à une gestion de troupeau rigoureuse.

5. Chez Baudot, « on ne pardonne pas un vêlage difficile, même à une belle vache »

(© Terre-net Média)

Avec 200 vaches allaitantes dans l’Auxois, les associés du Gaec Baudot n’ont pas le temps pour des vêlages difficiles. Chez eux, la facilité de naissance est sélectionnée depuis trois générations et le travail sur la génétique paye. Sur les trois dernières campagnes, l’élevage affiche une seule césarienne sur génisses.

6. « Depuis l’agrandissement, on gère deux traites sur deux sites en simultané »

(© Terre-net Média)

Théo Widmer a repris une exploitation laitière à quelques kilomètres de la ferme familiale. Mais pas question pour l’éleveur de travailler seul. Plutôt que de conduire deux structures en parallèle, les deux troupeaux ont été rassemblés pour travailler en collectif.

7. « Je vends mes broutards 20 à 25 centimes plus chers grâce aux marchés aux bestiaux »

(© Terre-net Média)

Avec 140 vêlages dans la Creuse, Benny Somnel mise sur les marchés de bestiaux pour la valorisation de ses broutards, comme des réformes. Une manière pour lui de garder la main sur le prix de vente.

8. « À 4 trayeurs, la communication est la clé de notre organisation »

(© Cécile Julien)

À la tête d’un troupeau de 150 laitières, Steven Derrien a misé sur le salariat au départ en retraite de ses parents. Être 4 à se relayer pour traire demande une bonne organisation et une communication efficace.

9. Chez Damien Bronn, les Simmental affichent des croissances dignes du Charolais

(© Terre-net Média)

En Alsace, Damien Bornn s’est inspiré des pratiques d’outre-Rhin sur son élevage de Simmental. Sélectionnées non pas pour le lait mais pour la viande, ses vaches affichent des performances de croissance comparables à celles des races allaitantes françaises.

10. Génétique et précision pour des vaches à 13 500 kg de lait au Gaec Dynamilk

(© Terre-net Mdia)

Situé dans le Pas-de-Calais sur la Côte d'Opale, le Gaec Dynamilk (62), c’est un couple passionné par la Prim’holstein, un haut niveau génétique, des résultats en concours et une belle reconnaissance par la vente d’animaux. Rencontre avec Mélanie et Matthieu Bodin, deux jeunes éleveurs motivés par le lait.

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